Retour après blessure : "Je me sens en pleine forme, à 100 %, et je suis là pour apporter à l’équipe nationale, donner le meilleur de moi-même et aider le groupe à se qualifier."
Élections au Benfica : "À l’époque, j’ai un peu parlé de ma position au club, aujourd’hui, avec du recul, je veux juste le bien du Benfica, le club qui m’a accueilli depuis tout petit, qui m’a transmis les valeurs pour arriver là où je suis. Pour moi, tant que le nouveau président, que ce soit Rui Costa ou un autre, amène le club au sommet, je serai très heureux."
Buts en sélection : "Je ne mets jamais mon but ou ma passe décisive en avant, je pense toujours au collectif et tant que nous gagnons et nous qualifions, je suis satisfait. Que ce soit avec un but de ma part ou non, peu importe. J’espère marquer un jour avec la sélection, que ce soit maintenant ou plus tard."
Qualification : "On vise toujours la victoire et si on peut l’obtenir dès le match contre l’Irlande, c’est encore mieux. Ce sont des équipes de qualité qui nous mettent à l’épreuve, mais si on peut décrocher la qualification dès la prochaine rencontre, ce serait formidable."
Ballon d’Or : "Le Ballon d’Or sera toujours le bienvenu si je le reçois. Ce n’est pas un objectif précis dans ma carrière, je pense avant tout aux trophées collectifs. Benfica ? Je continue à suivre, pas seulement l’équipe première mais aussi les jeunes. Je suis heureux de voir des talents qui peuvent rejoindre l’équipe première. Le groupe principal est solide, équilibré, capable de réaliser un bon championnat."
But et dernier stage : "Ça a été difficile pour moi. J’aime être présent à tous les matchs, c’était compliqué d’être absent à cause d’une blessure, de ne pas pouvoir aider comme j’aime le faire. Ces jours de récupération m’ont fait ressentir ce que c’est d’être sur le terrain et m’ont donné encore plus envie d’y être. J’apporte de la fraîcheur, de la motivation, de l’engagement et je vais essayer de donner la meilleure version de moi-même pour aider l’équipe."
Stage avec la sélection : "Ce n’est pas évident pour nous. Nous avons une longue période de préparation pour la Coupe du monde et les Euros, mais peu de temps pour être ensemble. Je vois cette opportunité comme une chance de m’intégrer au maximum, de préparer les compétitions. C’est toujours agréable de revenir au Portugal, de quitter la fraîcheur de Paris, de retrouver d’anciens coéquipiers et des joueurs que j’apprécie, et de passer cette semaine à préparer le Mondial."
Différences entre Martínez et Luis Enrique : "Ce sont des entraîneurs différents, avec des styles de jeu différents, mais ils ont des points communs, comme la possession et l’attaque. Je fais ce qu’on me demande, c’est pour ça que je suis là. Que je joue au centre ou sur le côté, peu importe, je serai toujours prêt à aider l’équipe."
Évolution : "Je ne sais pas trop quoi répondre, j’essaie d’être moi-même, que ce soit sur le terrain ou en dehors. J’ai toujours été bien accueilli par les joueurs les plus expérimentés. Je leur suis très reconnaissant. Bruno (Fernandes) a été quelqu’un de très important dans mon parcours en sélection, il m’a intégré et m’a fait comprendre que je n’avais pas à être nerveux. Sur le plan footballistique, j’ai progressé dans ma capacité à arriver dans la surface, ça se voit dans mes buts, mais je peux encore m’améliorer et je pense que ce qui me manquait, c’était justement cette présence dans la surface pour marquer ou faire une passe décisive, mais je ne me focalise pas là-dessus et tant que l’équipe gagne, tout va bien."
Compliment de Vitinha et envie de jouer côte à côte en sélection : "Je vais leur faire un câlin après. Je resterai le même. Jouer côte à côte, c’est au coach de décider, puis à moi et à tous de donner le meilleur pour l’équipe. La décision du coach est toujours pour le groupe, jamais pour nuire."
Match aller contre l’Irlande : "Je pense que ce sera plus difficile, c’est à l’extérieur et ils auront leurs supporters. C’était un match où nous avons montré la volonté portugaise. On a gagné dans les dernières minutes et ça fait du bien. Ce sont des équipes qui vont nous poser des problèmes, mais à nous de travailler toute la semaine pour analyser les points forts de l’adversaire, les neutraliser et repérer les faiblesses pour en profiter."
